"...Il n'aurait falluQu'un moment de plus
Pour que la mort vienne
Mais une main nue
Alors est venueQui a pris la mienne (...)
Qui donc a renduLeurs couleurs perdues
Aux jours aux semaines
Sa réalité? l'immense été
Des choses humaines(…)
Un tendre jardin
Dans l'herbe où soudain
La verveine pousse
Et mon coeur défunt
Renaît au parfum
Qui fait l'ombre douce....
Ce poème de Louis Aragon enferme l'essentiel de ce que j'ai à vous dire"
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